En théorie (du moins d’après les lobbys eux-mêmes), le gouvernement a besoin des lobbys parce qu’il faut avoir toutes les informations et toutes les opinions avant de prendre une décision. Donc, avoir des lobbys indépendants qui représentent les intérêts de nombreuses parties est une condition fondamentale pour la démocratie. Le problème, pourtant, c’est en réalité les lobbys ne sont ni indépendants ni représentatifs des citoyens.
La National Rifle Association (NRA), l’un des plus grands et plus puissants lobbys aux Etats-Unis, illustre clairement comment ce système fonctionne en réalité.
Quand j’ai entendu que le gouvernement chinois avait annoncé un système de crédit social, j’ai eu une impression de déjà-vu. Enfin, ce ne sera ni la première ni la dernière fois que notre gouvernement essaie de réguler la société par le biais d’une surveillance centrale et mutuelle. Maintenant, le gouvernement a énormément d’expérience quand il s’agit d’unir les citoyens et de les convaincre de travailler pour n’importe quel objectif central même si ça leur demande de se tourner le dos.
Récemment, inspiré par l’actualité, j’ai beaucoup réfléchi sur le sujet de l’immigration, en particulier, sur les différences entre le modèle de l’assimilation, comme celui adopté par France, et le modèle de multiculturalisme, comme celui adopté par les Etats-Unis. En gros, l’assimilation demande que les immigrés s’intègrent à la société du pays d’accueil rapidement et discrètement alors que le multiculturalisme demande que les autochtones tolèrent les différentes cultures et accueillent les changements.
Dès que j’était petit, je rêvais de voyager à l’étranger. En fait, quand j’avais cinq ou six ans, mes parents m’ont enregistré en parlant de ce que je voudrais faire quand je sera grand et j’ai dit avec confiance que j’aimerais voir et vivre dans les pays différents, ce que je n’ai jamais oublié.
C’est pour ça que j’aime toujours apprendre les langues étrangères. A l’école, mon cours préféré était l’anglais et j’ai lu beaucoup de littérature étrangère et vu beaucoup de films.
Ça fait longtemps que j’ai voulu écrire quelque chose sur le syndrome de l’imposteur. Enfin c’est un sujet très personnel pour moi. Oui, je me sens comme un imposteur pendant toute ma carrière en tant que data scientist. Donc, je crois que j’ai beaucoup d’expérience à partager.
Au début, c’était que j’avais peur de ne pas avoir étudié assez de statistiques à l’université, ce qui fait qu’il fallait que j’en apprenne beaucoup sur travail.